GASTRONOMIE : LE VIN COMME UNE THÉRAPIE !

Il est trop souvent difficile de résister à son odeur, à son arôme, à son goût, à sa couleur, à sa texture ou encore à son style. Qu’il soit rouge, rosé ou blanc, le vin, servi dans une coupe et qui invite à la dégustation, est un pur délice dont on ignore peut être tous les atouts, et ce malgré que ce soit une boisson alcoolisée.

En effet alcoolisée en partie, le vin est le résultat pur et simple de la fermentation du raisin. Son invention est attribuée au hasard puisqu’il est produit à partir du fruit de la « Vitis Vinifera » dont le jus fermente naturellement. L’histoire de l’origine de ce breuvage commence au néolithique puisque c’est dans le souci de limiter la fermentation du raisin que les vignerons ont pensé à domestiquer la vigne sauvage.

Qu’il soit léger, fruité, doux, concentré, sucré, corsé ou tannique, le profil des différentes variétés de vins qui existent dépendent de la nature, des hommes, de leurs choix, des régions dans lesquelles le vin est fabriqué. Tout un ensemble de facteurs qui donne à chaque catégorie de vins, un style unique et agréable pour la dégustation. En bonus, il faudrait faire remarquer que le vin quand il est raisonnablement consommé agit positivement sur la santé de l’Homme. Le vin est bon pour le cœur.

Selon une étude publiée en 2000 aux États-Unis, un ou deux verres de vin par jour, diminuerait le risque d’affection cardiaque de 20 à 30 %. Il prévient également le diabète de type II, qui, lui ne se déclare qu’à l’âge adulte. Et une autre étude démontre que les buveurs modérés développent moins le diabète de type II. Les polyphénols antioxydants présents dans le raisin (vin rouge) participeraient au ralentissement de la formation des plaques dentaires et par conséquent, le vin aiderait à lutter contre les caries dentaires.

Également, le vin serait un antibiotique naturel, capable de venir à bout des bactéries E, Coli et salmonella. C’est une information issue des recherches et études de l’université d’Etat de L’Oregon. Le vin et plus particulièrement le vin rouge, limiterait les risques de souffrir de la maladie d’Alzheimer. Et pour cause, la présence de polyphénols qui stimulent la production de monoxyde d’azote.

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On dit souvent aussi qu’aucune invention ou œuvre n’est parfaite et le vin ne se soustrait pas à cette règle. Il ne faudrait en effet pas oublier que le vin contient une part d’alcool qui, dès qu’on en consomme abusivement, nuit à la santé. Pour ce qui est de la consommation excessive de vin ,il faut après s’attendre à tout sauf à l’état de grâce .Une bonne cuite ,des maux de têtes ,la dépendance à l’alcool, des maladies liées au foie ,les cancers de la bouche ,de l’œsophage, de la gorge , etc…Peuvent être le résultat d’ivresses répétées. Si l’excès en consommation de vin annule ses effets bénéfiques, autant en profiter par petites doses. Et, enfin, à toutes fin utiles, et pour profiter à juste titre des différentes sortes de vins qui existent, il faut préciser que le vin rouge est conseillé lorsqu’on a mangé de la viande rouge et que le vin blanc quant à lui se prend sur de la viande blanche et du poisson.

Le vin est une boisson alcoolisée mais qui regorge de vertus avantageuses à la santé. Le secret cependant pour en profiter largement est d’en consommer avec des limites. Buvez en donc ! Et n’hésitez pas à prendre ne serait-ce qu’un verre de vin par jour, puisque le vin est doublement utile.

Divine