[LeCoupD’œil] Affaire DZOTSI KOSSI ELIKPLIM alias BOBO PERITA et la sanction exemplaire

Depuis le 26 mai 2023, une histoire fait la une des réseaux sociaux togolais et cela anime les passions. L’individu en question qui est né garçon est, par la force de la perversion, d’une civilisation occidentale qu’il se dit le chantre, devenu une fille et passe son temps à narguer son monde avec des vidéos TikTok pour présenter ses attributs sexuels, ses frasques et son mari, un «homme». Il avait même sublimé son mariage dans une tragi-comédie à donner de la nausée.

Plusieurs fois averti et conseillé par beaucoup de ses amis et même semble-t-il par certaines autorités, BOBO PERITA n’a pas jugé utile d’arrêter l’hémorragie.

Et la police nationale a pris ses responsabilités en l’interpellant le vendredi 26 mai dernier. Il a été présenté le 1er juin au procureur de la République qui a ordonné son mandat de dépôt. Le voici donc en prison où il va couler de beaux jours dans un endroit où il va donner libre cours à sa perversité sachant qu’en taule des baraqués vont lui prouver comment faire fonctionner à plein régime son «derrière» qui le démange.

Depuis la nuit des temps dans notre cher pays le Togo et partout ailleurs en Afrique surtout subsaharienne, des mœurs sont respectés, des traditions et coutumes font notre réputation, notre fierté, notre respectabilité. Et l’éducation à nous inculqué est irréprochable sur la rigueur dans les mœurs et les valeurs qui fondent la société. Et voilà qu’un certain monde hyper civilisé, unipolaire, détraqué, dépravé et pervers est en train de corrompre nos habitudes millénaires, conduisant les jeunes à non seulement adhérer à des sectes criminelles et dangereuses, mais surtout à adopter des comportements qui frisent nos consciences, bafouent notre culture et pervertissent les doctrines et pratiques transmises depuis des générations.

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Le code pénal togolais est clair sur le sujet et le ministre des droits de l’homme et des relations avec les institutions Christian Trimua a été on ne peut plus franc à La Tribune des Nations Unies à Genève sur la question de l’homosexualité au Togo. Cela ne respecte pas nos coutumes et le Togo ne va pas s’insérer dans cette pratique nauséeuse a-t-il tonné. Le code pénal togolais punit d’un an à 3 ans, d’une amende de 1 à 3 millions de fcfa toute personne qui se donnerait le plaisir de désobéir à cette loi. Et cela est louable.

Beaucoup sont ceux qui, sur les réseaux sociaux, appellent à la clémence des juges dans le cas DZOTSI alias Bobo Perita. Il me vient à l’idée de leur poser ces questions: si vos papas ont pris pour époux des hommes, si vos mamans ont été mariées à des femmes, seriez-vous nés? Dans quel Togo vivrions-nous si tout le monde adoptait cette posture? Quelle éducation voulez-vous laisser à vos enfants qui suivent ou peuvent voir de telles immoralités sur TikTok, Telegram, Instagram et autres? Soyons sérieux et disons les choses telles qu’elles. Nous sommes noirs AFRICAINS et de telles énormités ne sont pas nos dadas. On ne va pas pervertir notre société en cherchant à tout prix à nous calquer sur le modèle occidental pervers et dépravé. Il faut que cela s’arrête car déjà ce qui se passe sur les réseaux sociaux devraient interpeller nos consciences pour prendre des mesures contraignantes pour prévenir le futur.

Il faut que toutes ces dépravations s’arrêtent. MAINTENANT. Et que la police nettoie à fonds les écuries d’augias.

Anani Sossou