Togo/Litige foncier à Gbamakopé : Les acquéreurs de bonne foi appellent toujours le Président Faure Gnassingbé au secours

La raison du plus fort est toujours la meilleure, dit-on. C’est en cela que le Chef de l’État Faure Essozimna Gnassingbé est de nouveau supplié par les acquéreurs de terrains à Gbamakopé pour enterrer définitivement ce litige.

En conférence de presse le mercredi 27 octobre 2021 à Gbamakopé dans la préfecture de Zio, les acquéreurs de bonne foi ont renouvelé leurs remerciements au Chef de l’État togolais, Faure Gnassingbé, au garde des sceaux Puis Agbetomey, au Ministre en charge du commerce Kodjo Adedze, au Président de la Cour suprême Abdoulaye Yaya et à tout l’exécutif togolais.

Dans la déclaration liminaire, les acquéreurs de terrains victimes des litiges fonciers entre les Kpassra et les Gbama ont exprimé leur volonté de voir attaquer les dossiers concernant ces litiges pour situer la responsabilité.

« Nous informons l’opinion nationale et internationale que malgré la décision du Président de la cour suprême, les forces de l’ordre et de sécurité continuent toujours par sceller les portes des maisons avec des briques pour nuire à la tranquillité des populations longtemps sous le joug d’une décision de la cour d’appel de Lomé  » annonce la déclaration avant de poursuivre que » face à ces menaces, les acquéreurs de bonne foi restent une fois encore mobilisés car nul n’est au dessus de la loi ».

Selon la déclaration, personne ne s’est permis depuis la décision du Président de la cour suprême de poursuivre les travaux sur un quelconque chantier car étant tous conscients de la situation, nul ne peut enfeindre à la loi d’un pays.

Ces derniers appellent le chef de l’État Faure Gnassingbé a siffler la fin de la récréation car la présence des forces de sécurité en pompe dans le village traumatise les enfants.

« Je suis une mère, je peux être là mère du Président de la République. Humblement comme la vierge Marie qui a supplié son fils Jésus au mariage à Canan, je supplie Faure Gnassingbé d’intervenir pour notre cause. Lui seul en ce jour a le dernier mot  » a pesté Ayawa Senyo en larmes.

Toujours reconnaissant envers le numéro 1 des togolais, Eric Singo pour sa part voit de loin le pire si rien n’est fait pour arrêter l’hémorragie.

En rappel, le Président de la cour suprême fait u’e sortie en fin de week-end dernier sur l’expulsion de masse sur l’étendue du territoire national.

Maurice