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Togo : L’immoralité se répand lentement comme une tâche d’huile, souillant la jeunesse si rien n’est fait !

La dépravation des mœurs, l’immoralité accrue et l’exploitation sexuelle des filles à des fins économiques par des proxénètes bien organisés, sont des maux qui minent le Togo, il y a si longtemps.

Depuis quelques années déjà, des jeunes filles surtout les plus belles, mirobolantes, potelées avec des formes bien à l’africaine, (et même des jeunes hommes) qui sont à la recherche des gains faciles, s’adonnent à des transactions sexuelles avec un ou plusieurs partenaires. Le pire de ce comportement obscène ou encore pernicieux, est que ces jeunes filles sans scrupules ont crée un réseau dénommé « KOTO CLUB » pour arriver à leurs fins et ainsi pervertir les autres citoyens togolais faibles d’esprit qui s’efforcent nonobstant la vie chère pour gagner leur vie décemment.

L’exploitation sexuelle et la prostitution des jeunes filles prennent des proportions inquiétantes dans le pays de Faure Kodjo Essozimna Gnassingbé. Elles sont pour la plupart des jeunes collégiennes, lycéennes et mieux encore des étudiantes recrutées par des dames amorales pour les livrer à des hommes fonctionnaires, cadres ou des touristes étrangers pour assouvir leur besoins sexuels du moment. En s’offrant consciemment ou inconsciemment à ces hommes aussi pervers et vicieux, ces jeunes filles ignorent parfois les conséquences à court, moyen et long terme pouvant compromettre irrémédiablement leur avenir sexuel et même vital.

L’immoralité se répand lentement comme une tâche d’huile, souillant la jeunesse togolaise.

La prostitution est une vieille pratique depuis l’ancien temps pour ne pas dire un très vieux métiers du monde. Aujourd’hui, celles qui ont décidé de ne pas exercer visiblement ce vieux métier en s’exposant dans les rues de Lomé comme des marchandises, se constituent en club ou groupe (Whatsapp, Facebook ou Tik-tok aidants) comme on le fait déjà en occident, pour se « faire taper » comme on le dit, par les « grotos », les hommes d’affaires ou par des simples fonctionnaires qui ont les moyens de payer leurs services. Le cas d’espèce qui défraie actuellement la chronique, en ces derniers jours, est le « KOTO CLUB » que notre rédaction a contacté pour s’assurer de la véracité de l’image qui circule actuellement dans les groupes whatsapp et de l’existence de ce réseau amoral qui constitue une « bombe à retardement ».

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Au cours de notre discussion avec le numéro mentionné sur l’affiche (en image ci-dessus), le responsable du numéro informe qu’on doit faire la réservation en envoyant un Flooz sur son numéro et après prouvé cela par des captures d’écran. « Vous voulez recevoir la fille chez vous ou dans un auberge ou hôtel ? Après avoir choisi, vous allez payer pour réserver puisque c’est le week-end et j’ai donc trop de demandes. Vous envoyez 2200 sur le numéro Moov et ensuite vous m’envoyez la preuve en capture d’écran » a-t-il écrit avant d’ajouter « une fois vérifier que vous avez envoyé ça, je vous enverrai la galerie de filles disponibles pour que vous fassiez votre choix et elle vient ».

À la question de savoir s’il y a des togolaises dans ce lot, le responsable du numéro qui est sur l’affiche réponds : « bien sûr nous avons beaucoup de nationalité mais surtout les togolaises ».

Scandale pour le pays de Faure Essozimna Gnassingbé, si rien n’est fait pour stopper ce réseau !

Déjà, les homosexuels tentent de prendre place dans la société togolaise, et avec l’avènement de ce réseau dangereux, amoral, pervers et pernicieux, les autorités compétentes doivent se saisir de ce dossier rapidement pour couper le mal depuis sa racine.

L’on se souvient d’un pareil club, l’année dernière, qui voulait détruire l’image du maire de la commune du golfe 5, Kossi Aboka. Ce premier responsable de la commune a sorti une note menaçant ces jeunes dépravés qui voulaient organiser une soirée de « Partouze » tard dans la nuit. Après la sortie de cette note, l’on a appris aux dernières nouvelles que ces individus sans scrupules ont abandonné leur projet amorale.

Le ministre de la sécurité et de la protection civile, Yark Damehame est interpellé dans ce dossier. Il y va dans l’intérêt de tous les citoyens togolais.

La première grande question que l’on puisse se poser en voyant ces actes immoraux et pervers est de savoir si c’est la cherté de vie qui entraîne tous ces désordres comportementaux ou, si c’est le vice et le libertinage qui poussent ces jeunes filles à se vendre sexuellement comme des marchandises sur la terre de nos aïeux en utilisant les réseaux sociaux ?

Marc GNAZOU

TOGONYIGBA Société de médias et d'actualités

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36 commentaires

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