Pourquoi Dangoté recrute-t-il des indiens dans son entreprise au détriment des nigérians ?
Il n’est pas rare de voir des chefs d’entreprises avoir des préférences dans leurs différentes relations professionnelles.
Plus souvent, ils sont guidés par des petits liens d’affinités et de compatibilités. Que ce soient sociaux, économiques, religieux, ou intellectuelles, tous ces liens bien que paraissant subjectifs interviennent toujours dans les rapports inter-individuels.
Au Nigéria, l’homme d’affaires richissime, Aliko Dangoté semble avoir un certain penchant pour les indiens.
Pusieurs de tous ces Indiens, hommes d’affaires, ou simples employés avec qui, travaille la première fortune d’Afrique ont un point commun : la croyance religieuse.
Les indiens sont reconnus pour leur fidélité à leurs religions traditionnelles et ancestrales, le bouddhisme et aussi l’hindouisme. Bien qu’il y ait une infinité de dieux en Inde, les croyances se convergent vers les valeurs similaires.
En effet, les Indiens croient en l’existence d’un karma, c’est-à-dire la foi selon laquelle on reçoit toujours la monnaie de nos agissements, que ce soit en bien ou en mal.
Les indiens croient que les êtres renaissent en fonction de la nature et de la qualité de leurs actes dans cette vie-ci, mais aussi dans d’autres vies qui se sont déroulées antérieurement.
Ainsi, tout acte (karma) induit des effets censés se répercuter sur les différentes vies d’un individu, formant ainsi sa destinée. C’est ainsi qu’ils sont pour la plupart réglés dans leur conduite.
Les religions orientales permettent aux pratiquants de mieux-vivre dans l’entreprise et, surtout, de développer une dimension éthique de façon très concrète dans l’organisation et dans les relations tant en interne que vers l’extérieur. La conscience d’une réincarnation fait de la vie professionnelle des indiens une démarche éthique. L’éthique étant le fondement de tout développement, que ce soit dans la vie professionnelle ou dans tout autre domaine.
Dans nos différents projets nationaux, il n’est pas rare nos dirigeants confier les grands contrats aux étrangers, en l’occurrence les indiens, c’est pour ces genres de raisons, bien qu’aux aspects subjectifs.
L’Africain a perdu son intégrité et sa jugeote. Un mini projet de travaux publics, à lui confié, il profite pour effectuer une surfacturation légendaire.
Revenons à nos valeurs africaines, la confiance et le bon sens coûtent chers.
Malcolm
307406 634436There is noticeably a bundle to realize about this. I assume you created specific good points in functions also. 348917