À Lomé, les parlementaires africains se penchent sur les stratégies de lutte contre le terrorisme

Lomé, la capitale togolaise habrite depuis ce jour, une conférence parlementaire sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent qui demeure une préoccupation majeure des gouvernements d’Afrique occidentale.

Les présidents d’assemblées parlementaires, les représentants des parlements nationaux des Etats d’Afrique, les organisations non gouvernementales de jeunes, les représentants des agences du système des nations unies et les députés togolais serrent depuis jeudi 19 janvier les coudes contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique dans la capitale togolaise.

Tous engagés contre le terrorisme, les députés africains se penchent sur les stratégies à adopter pour lutter contre ce fléau en associant les OSC, les femmes et surtout la jeunesse africaine à cette lutte.

Pendant deux jours, les parlementaires africains vont trouver des voies et moyens permettant d’encourager et soutenir les jeunes et les communautés dans la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent en Afrique.

Plusieurs panels sont inscrits à l’agenda des deux jours des travaux pour des actions immédiates.

Sont présents à ce grand rendez-vous placé sous le thème collaboration entre la jeunesse et les élus du peuple, les parlementaires et délégations d’Algérie, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de l’Égypte, de la Gambie, du Ghana, de la Guinée, des Îles Comores et Maurice, du Kenya, du Libéria, du Mali, du Maroc, du Niger, du Nigeria, de la Centrafrique, du Rwanda, du Tchad, du Zimbabwe et du Togo.

Maurice