Togo/Peuple Gê : Comme il était beau ce passé glorieux !

« Les choses se sont mal passées en pays Gê mais l’espoir n’est pas perdu » dixit un natif révolté.
Comme ce natif dont le cordon ombilical des aïeux se trouvent dans une des grandes maisons familiales à Glidji, ils sont nombreux à vouloir la paix et l’harmonie qui avaient longtemps régné entre les désormais protagonistes en pays Gê.

À la question « que s’est-il passé ? » l’ami n’a pas voulu se prononcer.
Selon lui, les divergences doivent être mises de côté pour la préservation des acquis des aïeux car, le peuple togolais a souvenance que seul le peuple Gê était un exemple à suivre depuis plusieurs décennies dans l’organisation des fêtes traditionnelles.
« J’ai honte lorsqu’on se moque de nous. Oui lorsqu’on me demande combien de pierres avons-nous en pays Gê » a laissé entendre Adoté.
Dans un passé récent, le peuple Gê était très uni et tout le monde parlait le même langage. Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
À cette question, seul Dieu pourrait répondre mais l’espoir n’est pas perdu.

Le point de presse d’une part et la conférence de presse d’autre part ne pourront résoudre le problème en pays Gê et ni le chef de l’État ni le ministre d’État, ministre de l’administration territoriale.
La seule voie de sortie de crise aujourd’hui en pays Gê ne peut-être que cette volonté d’accepter l’autre tel qu’il est et surtout de remettre à zéro la pendule pour ensemble regarder dans le rétroviseur.
Comme c’est beau d’être digne fils en pays Gê!

Avec sa fête traditionnelle, seule vieille fête au Togo et en Afrique, la prise de la pierre sacrée qui et demeure une fête rassembleuse suscite envie et jalousie chez beaucoup d’autres peuples. Et les divergences sont sources de bonheur de ces derniers qui veulent toujours voir les Gê, ce peuple qui ont côtoyé pour la première fois les occidentaux au Togo demeurer dans cet aparté.
Il urge donc que chaque acteur mette de l’eau dans son vin pour la bonne présentation des acquis des ancêtres.
Il est temps. Gamesu pour vous retrouvrez ensemble et parler encore d’une même voix pour le bien-être de vos enfants.

La rédaction