Hier, lors de l’étude du projet de loi portant protection des apprenants contre les violence à caractère sexuel, j’ai posé la question suivante au ministre Kokoroko.
En réponse, le ministre a indiqué que le projet avait été réévalué et qu’il est désormais question de la construction de 14 640 salles de classes, au lieu des 30 000, toujours pour l’horizon 2025. Les enseignants volontaires, à l’époque estimés à 14000, ne sont aujourd’hui plus que 6300, à l’issue des divers examens et autres évaluations internes. Ceux qui sont dans le secteur ont sans doute observé qu’une liste officielle des enseignants volontaires a été diffusée à partir des inspections.
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Comme le ministre l’a indiqué, cela fait plusieurs années que j’insiste pour une prise en charge des enseignants volontaires, en attenant qu’ils deviennent des fonctionnaires. Très bientôt, ces enseignants volontaires seront payés et je suis très content. Il faut reconnaître que l’objectif général est de résorber tous les enseignants volontaires d’ici 2025.
Voilà, c’est la politique autrement. Je remercie le gouvernement pour son sens d’écoute sur les sujets sociaux. Merci au ministre Kokoroko. L’éducation est l’âme de toute société et les acteurs doivent en permanence être mieux traités.
C’est devant qui est bon.
Payons les enseignants volontaires vivants.
Gerry T.
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