Un autre absent de marque le 15 mars dernier à la 2ème réunion du CPC
(Cadre Permanent de Concertation), le parti de Me Kokou Paul Dodji APEVON, qui on se rappelle, a pourtant été présent à toutes les réunions de la CNAP (Concertation Nationale des Acteurs Politiques) dont le CPC n’est que l’émanation.
Les FDR à travers un communiqué rendu public s’explique.
« la manière dont les maigres résultats obtenus au sein de la Concertation Nationale entre Acteurs Politiques (CNAP) avaient été édulcorés, d’une part par une modification unilatérale de la loi relative aux manifestations publiques adoptée par l’Assemblée nationale, loi qui interdit de fait lesdites manifestations, et d’autre part par le refus persistant du Gouvernement d’appliquer les recommandations de la CNAP en ce qui concerne la mise en liberté des prisonniers politiques afin de créer les conditions d’une décrispation du climat sociopolitique dans notre pays », ensuite, le caractère « irrespectueux » par lequel « les tenants du pouvoir aient créé ce CPC, censé faire le suivi de la mise en œuvre des décisions issues de la CNAP, sans la moindre consultation des partis d’opposition y ayant pleinement pris part », juge « inconcevable que le pouvoir ait composé le CPC à son goût par la mise à l’écart de la Société civile et l’intégration d’une composante dénommée « Députés Indépendants » » alors qu’il considère que « les discussions sur des questions d’intérêt national concernent aussi bien les acteurs politiques que la société civile ». Et pour finir, Apévon et ses partisans, font observer « que la création du CPC par arrêté ministériel au lieu d’un décret du Chef de l’Etat dénote le peu d’intérêt que le Gouvernement accorde à cette structure ».
A l’aune de tout ce qui précède, le parti FDR dit se réserver « prendre part aux discussions du CPC du 15 mars 2022 et n’entend pas s’y associer à l’avenir si des dispositions sérieuses ne sont pas prises par le Gouvernement pour éviter que la mise en place de cette structure soit un subterfuge de plus du pouvoir pour continuer de flouer les acteurs de l’opposition qui, de bonne foi, acceptent le dialogue dans le souci de contribuer à l’instauration d’un climat de confiance entre les acteurs politiques et toutes les autres composantes de la vie sociopolitique dans le seul intérêt de notre pays ».
Rappelons que la 2e réunion du Cadre permanent de concertation (CPC) a vue le président du Nouvel Engagement Togolais (NET), Gerry Komandega Taama porté à la tête du bureau qui dirigera les travaux entre les acteurs politiques sur l’organisation consensuelle des élections régionales. Ce dernier sera secondé par Adrien Béliki Akoueté de la Convergence patriotique panafricaine (CPP) et du député indépendant, Pacôme Adjourouvi. Un bureau tournant de trois membres devant diriger les travaux pour une période de trois (03) mois (d’avril à juin).
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