Un blessé, un accidenté, une personne malade, un cas en agonie, un sujet en souffrance, une victime de quelque crise que ce soit, qu’elle soit seule ou accompagnée et tous les autres cas graves et d’urgence que nous connaissons, une fois transportés à l’hôpital doivent absolument être pris en charge illico-presto, aussi vite que l’indiquent « l’état d’urgence » qui a motivé le recours à l’hôpital.
Son statut, sa personnalité, le fait qu’il soit riche ou pauvre, qu’il n’ait pas d’argent, qu’il n’ait pas l’air de souffrir ou ne présente pas apparemment de blessures ou de traumatismes (Il y a bien des cas d’hémorragie interne) etc…ne sont pas plus importants que la priorité de le secourir et de lui apporter les premiers soins qui s’imposent.
A t-on besoin de le marteler ou de faire un dessin en blanc, noir ou en couleur pour faire comprendre et rappeler que la vie humaine est sacrée? On dit que « La vie ne vaut rien mais que rien ne vaut la vie » et également que « Le temps est précieux ».
Nous le savons tous! La vie humaine est fragile et ne tient qu’à un fil. Lorsqu’elle est gravement atteinte, le temps mis pour essayer de la sauver passe terriblement vite et il faudrait absolument que dans nos hôpitaux, face à des personnes mal en point et dont la vie est menacée, le temps soit rapidement mis à profit par les professionnels de la santé pour ne pas les perdre, autant que c’est possible.
Le statut des victimes, la paperasse, les sous de consultation, d’hospitalisation ou de prise en charge, etc…peuvent toujours être réglés par la suite. La vie d’une personne qui souffre, elle par contre, n’attend pas. C’est avant et toutes autres considérations, primordiales de la secourir d’abord parce qu’elle a de la valeur. De grâce faisons plus appel à notre conscience professionnelle et au serment d’Hippocrate que nous avons prêté.
LIRE AUSSI :[Santé/Bien-être] voici le remède pour éviter d’avoir les pieds secs et les talons craquelés
Anita Marcos
Nombreux sont ces jeunes élèves filles qui se font engrosser par leurs camarades garçons dans…
Le chef quartier d'Adakpamé Kpota-Colas Togbui Adjikou LANKLIVI 1er accompagne l'acte à la parole suite…
https://youtu.be/vczXns2pbOY?si=OknjbfcaoLQEjaRR FANGNON KOFI SAMUEL, écrit à Alain FOKA Lettre ouverte à mon cher aîné Alain…
À sept mois de l'élection présidentielle de 2025, le paysage politique ivoirien évolue avec la…
"Les femmes sont nos mamans. Elles doivent servir de modèle à la jeune génération", a…
"La femme autonome contribue facilement au développement local", dixit Koamy Gbloèkpo Gomado. Le monde entier…
This website uses cookies.