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Face à certaines circonstances ou épreuves de la vie, on répète souvent à qui veut l’entendre « Après la pluie, c’est le beau temps. ». Dernièrement, nous en faisons une énième fois peut-être l’expérience pour ne pas dire que nous en faisons les frais! (Rires.).

Le temps auquel je fais allusion est particulièrement instable depuis fin juin.Un coup les nuages envahissent le ciel, un coup le soleil est au zénith.Il pleut dru, il tombe des cordes, ensuite le temps est « Beau. ».Beaucoup trop beau quand cette pluie cède la place à un soleil extrêmement brûlant et insoutenable.Soit, il fait trop chaud, soit il fait trop froid.Les deux extrêmes quoi!

S’il faut mettre ce bouleversement sur le dos du réchauffement climatique ou des changements climatiques, c’est vraiment phénoménal. Il faut le dire puisque le seul cas de cette chaleur étouffante qui ressemble fortement à une canicule peut avoir des répercussions négatives sur la santé de l’Homme, sur la régularité des productions agricoles, sur la faune et la flore, etc… J’ai de ce fait envie de dire qu’on n’est pas encore sorti de l’auberge !

En attendant de trouver une issue, il est nécessaire que nous nous préservons de la chaleur, en ne restant pas trop exposés au soleil, en mettant des casquettes, des grands chapeaux s’il le faut et des lunettes de soleil pour se protéger ne serait-ce que des coups de soleil qui peuvent s’avérer dangereux et puis aussi, boire assez d’eau pour éviter la déshydratation.

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Pour ce qui est de la pluie avec son cortège d’eau, de fraîcheur et de moustiques, éviter de sortir alors qu’il pleut pour ne pas attraper froid, bien se couvrir, rester au chaud, prendre des boissons chaudes (Du thé par exemple.) et surtout surtout, dormir sous moustiquaire imprégnée (Notamment les enfants.) épargneraient à chacun de nous bien des déconvenues, on est d’accord !

Le monde change, les saisons sèches et pluvieuses n’en font qu’à leur tête, le temps est devenu bien capricieux de nos jours et nous n’avons pas d’autres choix que de suivre le mouvement.Il nous appartient donc de nous adapter autant que faire se peut à toutes les humeurs que dame nature présente.

Par Anita MARCOS