Le choix des conjoint(e)s est un événement très important pour l’avenir d’un couple. Il se faisait au temps de nos grands-parents par les parents eux même en prenant soin de bien choisir la belle famille soit par affinité, soit par reconnaissance. Mais, la question est de savoir si les jeunes, aujourd’hui sont prêt à renouer avec cette tradition ancestrale? Est-ce finalement la solution pour éviter les guéguerres dans les couples,les séparations et les divorces ?
Notre journal s’est approché de quelques passant et a recueilli des informations dont il juge utile de partager avec vous.
Certains parents trouvent toujours judicieux l’application de ce système car selon eux, les jeunes ont du mal à faire un choix, et de surcroit le bon. C’est le cas de blaise un père de famille : « moi, si j’ai cette possibilité je le ferai… Ils ont du mal à faire un choix ».
D’autres parents par contre propose la négociation avec leurs enfants : « on doit négocier avec eux. On se contente de leurs éducations mais leurs choix nous importent peu » déclare Christophe un autre père de famille. On a aussi cherché à avoir l’avis des mamans sur le sujet. Grande a été notre surprise quand nous avions écouté l’intervention de maman
Thérèse : « je ne peux pas faire un choix et imposer à mon enfant. ».
Mais que disent les jeunes qui sont les plus concernés dans cette histoire ?
Jean un jeune de la vingtaine, affirme que son choix n’engage que lui-même, car lui seul définit les critères de ce choix : « je ne peux pas épouser une femme dont j’ignore ses sentiments, ses mœurs, son attitude et ses pensées ou ses avis sur les choses ». Nadaa vient l’épauler en ces termes : « Mes parents ne sauront pas forcément ce que je recherche ».
Ces jeunes sont donc convaincus que peut importe leurs choix, ils sauront mieux s’y adapter et faire face aux problèmes en cas de survenu.
D’autres jeunes de leurs âges ne sont pas du même avis.
Diane préconise le mariage arrangé, puisque selon elle les parents sont les seuls qui disposent de l’expérience nécessaire pour ce choix. Noëlle la suit avec cette déclaration : « je vais accepter le choix de mes parents. Ils me connaissent très bien et savent ce que j’aime. Je doute fort qu’ils me fassent un mauvais choix »
En bref le sujet pose une problématique, qui jusqu’alors n’est pas résolu.
Et toi jeune… qu’en penses-tu ?
Geneviève