La Haut-commissaire de l’ONU chargée des droits de l’homme, Michelle Bachelet, a entamé ce lundi une visite de six jours en Chine, première depuis 2005, visite au cours de laquelle elle se rendra au Xinjiang, où Pékin est accusé de persécuter la minorité Ouïghoure.
Enfermement de masse, travail forcé, stérilisations et annihilation culturelle: ce sont là les accusations formulées par les organisations de défense des droits de l’Homme contre la Chine au Xinjiang.
Cette visite s’annonce ardue pour l’ex-présidente chilienne, qui pourrait ne pas bénéficier d’un accès libre et risque d’être utilisée par les autorités chinoises pour se dédouaner. Beaucoup de spécialiste des droits humains craignent une visite faussée, et une impossibilité de constater les problèmes dans leur globalité
SOH Essozolim Victorien