La rédaction de la nouvelle Constitution a été lancée mardi 21 février au palais du peuple. Le chef de la transition guinéenne, le colonel Mamady Doumbouya, a exhorté le comité de révision constitutionnelle à examiner les « besoins et réalités du pays et à rédiger une nouvelle loi suprême robuste », a rapporté le site Internet privé Africaguinee.
« Notre pays a besoin de tranquillité, pas seulement de périodes de transition permanentes. Donc, aujourd’hui, nous parlons de la constitution. Nous devons pouvoir réfléchir à la mise en place d’une constitution forte adaptée à nos besoins et à nos réalités », a-t-il déclaré mardi lors du lancement de la colloque de révision constitutionnelle dans la capitale, Conakry. L’importance qu’« elle ne soit pas écrite par une personne faite sur mesure et surtout qu’elle ne soit pas faite sur mesure pour un parti politique ».
Il a mis en garde le comité contre la rédaction d’une constitution « copier-coller ou sur mesure » pour le pays. Le président de la transition a déclaré que le Comité national de transition s’est engagé à rédiger une nouvelle constitution pour la postérité et non une constitution adaptée aux autorités intérimaires.
La « junte » s’est engagée à remettre le pouvoir aux autorités civiles à la fin de la période de transition de deux ans qui a débuté en janvier.
Le président de la transition, le colonel Mamadi Doumbouya a réaffirmé qu’il quittera le pouvoir à l’issue de la transition, fin 2024.
« Nous allons organiser – bien sûr – la transition, mais nous ne ferons pas partie de l’après-transition », a-t-il déclaré.
Par ailleurs, les groupes d’opposition et la société civile ont appelé à manifester pour exiger la démission du gouvernement de transition.
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