Les propos tenus par Dodzi Komla Kokoroko, le ministre des enseignements primaire, secondaire et technique il y a quelques jours à Dapaong, semblent irriter
la Fédération des syndicats de l’éducation nationale (FESEN)
Le bureau national de cette fédération dit « dénoncer avec la dernière rigueur le caractère discourtois et violent de ces propos au regard du rang de leurs auteurs » peut-on lire dans un communiqué rendu public le 31 mars 2022.
Par ailleurs le bureau de cette fédération ne comprends pas le mutisme du gouvernement face à ces dérives du ministre et lance par la même occasion un appel au chef de l’Etat, Faure Gnassingbé et au gouvernement afin, dit-il, que des mesures nécessaires soient prises pour préserver la cohésion et la paix sociales.
« La FESEN s’étonne du silence du gouvernement face à ces dérives verbales excessives qui risquent de mettre à mal le processus d’apaisement dans lequel les acteurs du système éducatif sont inscrits »
Un clin d’œil prudent à la SET ?
La FESEN invite les autorités à prêter une oreille attentive aux doléances de toute organisation syndicale et à faire preuve de plus de sincérité dans le processus de négociations.
Aux enseignants, la fédération demande de rester forts et mobilisés pour la défense de leurs intérêts légitimes malgré, dit la fédération, les intimidations et menaces de toutes sortes.
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