Un continent, où la population devrait doubler d’ici à 2050 et dont la moitié a moins de 25 ans, devrait être une locomotive économique. Encore faut-il savoir miser sur cette manne humaine pour en faire une force et non une bombe à retardement.
« D’ici à trente ans, les boomers et autres artisans du système politique postcolonial seront disqualifiés. » En 2050, un quart de la population mondiale sera africaine. Ce chiffre, souvent présenté comme une promesse, cache aussi une grande responsabilité. S’il est le symbole d’un continent jeune, dynamique et plein de potentiel, il laisse entrevoir des défis importants. Dans L’Afrique et le reste du monde, Kako Nubukpo replace cette croissance démographique dans le cadre d’une dépendance économique structurelle. Son message est clair : sans transformation profonde, cette manne humaine risque de devenir un fardeau.
Pour l’économiste togolais, ancien commissaire chargé de l’Agriculture, des Ressources en eau et de l’Environnement de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa), le cœur du problème réside dans l’héritage colonial. Une économie pensée pour exporter des ressources brutes et importer des biens finis. Ce modèle, encore largement en vigueur, laisse le continent vulnérable (aux…) lire la suite 👇
Crédit photo :Personnel de Africa Improved Foods, une entreprise rwandaise dont l’actionnaire est la société néerlandaise DSM. © Sven Torfinn/PANOS-REA
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