La candidate des démocraties Reckya MADOUGOU avait la certitude de faire partir Patrice Talon du pouvoir en 2021 si on se réfère à ses propos lors de son dernier meeting avant son arrestation.
Il faut d’abord faire ressortir la nuance entre la candidate Reckya Madougou et la citoyenne qui vient d’être interpellée. Il y a longtemps que la candidate des Démocrates a perdu son titre et la couverture que cela induit, depuis la décision de la Cena, validée par la Cour constitutionnelle.
De ce fait, elle devrait comprendre qu’elle est simplement une citoyenne du Benin, de qui la nation attend un comportement citoyen.
Pas plus. Malheureusement pour elle et ses complices, qu’au lieu de digérer leur échec, elle a choisi de comploter contre la stabilité de l’État comme pour donner raison à Rachidi Gbadamassi sur ses intentions.
Dans ce cadre, plusieurs personnes avaient été arrêtées et ont toutes reconnu avoir été gracieusement payées pour perpétrer des actes de vandalisme, de terrorisme, des meurtres de personnalités de premier plan.
Pour semer la confusion, plusieurs personnes ont été aussi ciblées comme prêtant main-forte à la communication de la Rupture, pour subir des attaques.
Les deux vagues des personnes arrêtées, ont chacune, appelé le nom de dame Reckya Madougou comme commanditaire de ce projet funeste pour semer la peur dans la tête des Béninois dans le cadre du processus électoral en cours.
Une façon de confirmer son slogan de « Pas d’élection au Bénin sans les Démocrates ».
Dans ce cas, le minimum attendu de la police dont le rôle est de sécuriser les béninois, n’est-il pas d’interpeller madame Madougou pour situer sa responsabilité dans le projet de déstabilisation du pays ?
Son interpellation et sa garde à vue, relèvent bel et bien du normal. On doit laisser la police et la justice faire leur travail pour le bien de la nation béninoise sans passion ni émotion.
Nul n’est au-dessus de la loi. S’il est établi que madame Madougou est coupable des aveux de ses complices, elle devra répondre de ses actes et ça ne serait que justice rendue au peuple béninois qui se trouve être la principale cible de ce qui se trame contre le Bénin.
Il n’y a donc pas péril en la demeure.
Reckya Madougou, Joël Aïvo, Boni Yayi et même Éric Houndété ne font plus partie du processus électoral. Ils sont aujourd’hui comme citoyens béninois qui votent s’ils le veulent ou battent campagne pour le candidat de leur choix. Tout le reste relève d’une subversion que le tribunal a tout le loisir de qualifier de terrorisme.
En participant aux élections sur le format des lois en vigueur, ils ont, comme l’a souligné, Bertin Koovi, « validé et la Constitution et le code électoral. Ce n’est pas maintenant qu’ils n’ont pas souscrit à toutes les exigences de ces lois et ont été recalés qu’ils viendront crier à la mascarade. Toute personne qui se laissera manipuler par leur sous, le droit n’étant plus de leur côté, répondra de sa participation devant les tribunaux »
Rappelons que nous sommes déjà dans le cadre d’une qualification de terrorisme.
Un citoyen béninois
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